En septembre 2024, Muriel Quinet, fonctionnaire dirigeante adjointe, a représenté Iriscare à Paris lors d’un événement qui s’est déroulé dans le cadre des Jeux Paralympiques 2024. « Un jour aux jeux » rassemblait des acteurs bruxellois du handisport afin de soutenir les athlètes paralympiques belges.
Début septembre, Paris a vécu au rythme des Jeux Paralympiques. Un événement qui a offert sans conteste une visibilité au handisport et, plus largement, au handicap. A son niveau, Iriscare a pu participer à cet événement sportif grâce à un projet novateur né d’une collaboration unique entre le Paralympic Team Belgium et la Région de Bruxelles-Capitale.
Leur projet ? Rassembler les acteurs principaux du handisport bruxellois et célébrer l’inclusion et l’excellence sportive tout en supportant les athlètes du Paralympic Team Belgium. En tant qu’organisation clé dans le secteur du handicap à Bruxelles, Iriscare a été convié à participer à cette expérience unique.
Le 4 septembre, Muriel Quinet, fonctionnaire dirigeante adjointe d’Iriscare, a donc pris la route de Paris accompagnée de plusieurs associations francophones (LHF, CTR/ASCTR, White Star Athletic Club, Royal ALPA, PICO’s CUP, IRSA et l’influenceuse Sarah Talbi) et néerlandophones (VGC, ’t Vosje vzw, FriS – Friends & Scream United vzw et Boas vzw).
Iriscare et le handisport
Au quotidien, Iriscare travaille avec différents acteurs bruxellois actifs dans le secteur du handicap. Parmi les projets soutenus par notre organisme, on retrouve le Projet SAPA-Reha, regroupant deux ASBL (ASCTR et Cap sur le Sport). Un projet subsidié à hauteur de 120.000 € par an pour le financement de deux coachs sportifs dans le cadre du traitement de revalidation de personnes handicapées.
Un projet qui était également bien représenté à Paris puisque Muriel Quinet était accompagnée de Marine Maire (kiné et coach sportif pour le Centre de Traumatologie et de Réadaptation – CTR, financé par Iriscare) ainsi que de Lucien et Abdullah, tous deux bénéficiaires du programme de réadaptation par le sport. Cela comprend 3 séances minimum par semaine dans leur plan de soins mais également la préparation à la pratique d’un sport à leur sortie du centre via la mise en lien avec des club sportifs. « Le bénéfice est à la fois physique et mental », se réjouit Muriel Quinet.
A Bruxelles, comme à Paris, Iriscare soutient le handisport et œuvre au quotidien pour répondre aux besoins des Bruxellois en situation de handicap.